La réalité c'est que le non verbal existera toujours à travers nos interventions. Elle doit être prise par contre dans un contexte précis. Dans un contexte d'escalade et de crise, on doit aussi prendre en considération cet aspect, puisque ce ne sont pas toujours les "mots" qui ont un impact négatif sur la situation. Mieux se connaître et être honnête avec soi-même sur nos forces et nos faiblesses peuvent faire une très grande différence sur comment notre corps va se comporter lors de moments plus anxiogènes. 

La communication doit être vue comme un outil dans notre coffre, parmi ceux qu'on posséde. Bien que très souvent négligée, elle a sa place en intervention.